Par la Rédaction

Quelques heures seulement après sa nomination dans le Gouvernement SUMINWA, la Ministre de la Jeunesse a fait l’objet d’attaques sur les réseaux sociaux. Des personnes mal intentionnées ont distillé la nouvelle que Noëlla Ayeganagato, aurait supprimé ses anciennes photos sur son compte Instagram, uniquement pour nuire à son image. 

Christmas Lipuks, un Congolais membre du parti politique AREP (Agissons pour la République), a affirmé sur facebook que tout ce qui se dit sur les réseaux est faux, la nouvelle Ministre de la Jeunesse est une “mère de famille chrétienne de très bonne moralité, et n’est pas influenceuse”.

 » Noëlla Ayeganagato est de très bonne moralité, et n’est pas influenceuse. Très rare sur les réseaux sociaux, elle trace son parcours dans une vie chrétienne à l’église la Présence de Dieu (à Ma Campagne) où elle est servante de Dieu depuis plus de 10 ans, sans scandale. Elle obtient son diplôme d’État au C.S. Les Mickey et sa licence à l’Université Protestante au Congo. Elle est mariée et mère« , a-t-il révélé. 

 » Le problème est que de nos jours, beaucoup ne vérifient plus les informations y compris les journalistes. (…) Elle n’est pas une tiktokeuse encore moins celle dans les vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux, ce n’est pas elle. Soyez professionnels svp”, indique, sur facebook, le journaliste Alain-Lino Mwamba invitant certains de ses confrères à vérifier les informations avant de les publier.

Un autre soutient émane d’un jeune leader d’opinion Munuma Mbiye Obed. Dans une lettre adressée à la nouvelle patronne de la Jeunesse, ce jeune de Kinshasa condamne la divulgation de ce qu’il qualifie de fausses informations et rumeurs sur la vie privée de Noëlla Ayeganagato.

Tout en rappellant le parcours de la nouvelle Ministre, Mbiya Obed indique que la Ministre a travaillé avec dévouement et professionnalisme comme Bourgmestre adjointe de la Commune de Ngaliema.
“ Votre engagement en faveur de l’éducation des jeunes mérite d’être salué et encouragé ”, indique-t-il.
“ L’article 360 du Code du Numérique promulgué le 13 mars 2023 condamne ce genre de publication”, insiste-t-il.

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