La 68e cérémonie du Ballon d’or va tourner la page d’une époque de domination outrageuse, de confiscation de ce trophée. Le dernier lauréat et recordman de distinctions Lionel Messi ne figure pas sur la liste des 30 nommés, son éternel rival Christano Ronaldo non plus, et ce pour la première fois depuis 2003. La récompense individuelle ultime pour tout footballeur sera décernée ce lundi soir au meilleur joueur et à la meilleure joueuse de la planète. Deux nouveaux trophées figureront au palmarès de la cérémonie qui se déroulera comme chaque année au Théâtre du Châtelet.

En l’absence de Messi et Ronaldo qui ont marqué les deux dernières décennies, avec treize trophées à eux deux, le Brésilien Vinicius Jr apparaît comme le grand favori pour ouvrir cette nouvelle ère ce soir, au Théâtre du Châtelet, à moins que le jury ne préfère récompenser les mérites d’un joueur pivot comme l’Espagnol Rodri, indispensable à ses équipes.

Deux nouveaux trophées font leur apparition cette année, celui de meilleur(e) entraîneur ou entraîneuse d’une équipe masculine, et meilleur(e) entraîneur ou entraîneuse d’une équipe féminine. Seront aussi remis le trophée Gerd Müller (meilleur buteur de la saison), le prix Socrates (pour un joueur ou une joueuse impliqué(e) dans des projets sociaux ou caritatifs), le trophée Yachine (meilleur gardien), le trophée Kopa (meilleur joueur des moins de 21 ans), le Ballon d’or féminin et en point d’orgue de cette soirée le Ballon d’or masculin.

(Greene T.)

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